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Atelier 51
Christophe
GABRIEL
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Création
et
restitution de peinture-murale, décors dans le respect des techniques et
l'esprit de l'époque.
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Nous
travaillons généralement dans le domaine des monuments historiques mais
nous réalisons aussi des
projets pour des particuliers.
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Nos
références : Pour le compte de Maîtres d'Oeuvres , Maîtres d'ouvrages,
Ateliers Arcoa, Eschlimann, Arcams... Château de Versailles, Château de EU,
Hôtel de
Lassalle,Hôtel de Sully, Hôtel de Brienne, Théâtre des Champs Elysées,
Château de Champs sur
Marne... |
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CONTACT:
ATELIER 51
17 rue du
Javelot
75013 Paris
01 45 85 77 77
06 19 30 59 92 |
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contact@atelier-cg.com |
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LIENS:
DECORATION MURALE
CONTEMPORAINE
CHRISTOPHE GABRIEL
ATELIER-CG.COM
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Mots clefs: Peinture-murale,
décoration, fresque, fresques, décors, décor, mural, art mural,
décoration, panoramique, panoramiques, décoration murale, peinture sur
mur |
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Source http://fr.wikipedia.org
La fresque est une technique particulière de peinture murale dont la
réalisation s'opère, avant qu'il ne soit sec, sur un enduit, appelé
intonaco. Le terme vient de l'italien « a fresco » qui signifie « dans
le frais ». Le fait de peindre sur un enduit qui n'a pas encore séché
permet aux pigments de pénétrer dans la masse, et donc aux couleurs de
durer plus longtemps qu'une simple peinture en surface sur un substrat.
Son exécution nécessite une grande habileté, et se fait très
rapidement, entre la pose de l'enduit et son séchage complet. Le terme
est souvent utilisé par métonymie dans le langage courant pour désigner
la peinture murale en général et plus rarement la technique. Quatre
éléments entrent en jeu : le rinzaffo (le gobetis) : première couche
d'apprêt en contact avec le support, couche granuleuse, rugeuse.
l'arricio : le premier réel enduit du support (mélange de chaux, sable
et eau), pour rendre celui-ci droit et lisse (1 cm environ). l'intonaco
: la couche proprement dite qui va recevoir les pigments (composée de
sable fin, poudre de marbre ou pouzzolane, de chaux et d'eau). les
couleurs qui s'incorporent sur l'intonaco encore frais et humide
(pigments d'origine minérale à cause du ph basique de la chaux de
l'enduit). L'enduit étant frais, les couleurs s'imprègnent dans
l'intonaco dont une substance appelée calcin durant le séchage de
l'enduit, migre vers la surface et se superpose à la peinture créant
ainsi une couche protectrice. Cette réaction chimique, appelée
carbonatation (par évaporation de l'eau de l'enduit, le gaz carbonique
de l'air se combine avec l'hydroxyde de calcium de la chaux pour former
une pellicule de carbonate de calcium, le calcin), est caractéristique
de la peinture à fresque et lui confère cohésion et dureté. Pour
renforcer celle-ci le peintre passe sur la surface colorée la « langue
de chat », un certain temps après avoir posé sa couleur, et, entre
chaque couche pigmentée, l'eau remonte en surface et dépose le calcin,
c'est pour cette raison que certaines fresques paraissent polies. Les
fresques étaient polychromes mais les problèmes du coût des pigments
limitaient souvent le nombre de couleurs. Dans l'Abbaye de
Saint-Savin-sur-Gartempe dans la Vienne par exemple, on trouve quatre
couleurs sauf dans le chœur où le bleu, plus cher, occupe une surface
moindre. L'eau par exemple était souvent peinte en blanc et mise en
évidence par des traits ondulés. La peinture à fresque conserve plus
longtemps les couleurs que la peinture sur support classique. À Lascaux
déjà, les pigments sont fixés sur les parois, comme dans une fresque,
par une croûte de carbonate de calcium formée au cours des siècles. Au
néolithique, on peint sur un enduit blanc sec (souvent du gypse). Vers
2500 av. J.-C. en Mésopotamie et en Égypte apparaissent les premiers
fours à chaux, qui permettront à la fresque de naître en Mésopotamie
vers 1800 av. J.-C. et en Crète dès 1700 av. J.-C.. Les écoles
asiatiques, les Grecs et les Romains développent la technique. Les
formidables fresques de Pompéi nous prouvent la pérennité du procédé.
En France, la technique connaît son apogée dans l'art roman qui aime la
plénitude, la puissance, la monumentalité, avec un soupçon de réserve
toutefois ; il est en effet courant (hélas), que ces peintures soient
achevées à sec. L'abbaye de Saint-Savin-sur-Gartempe, la « Chapelle
Sixtine de France » en est le parfait exemple. Le style gothique réduit
les surfaces planes en favorisant la lumière et la fresque disparaît,
cependant certaines églises modestes telle Sillegny en Lorraine
présentent de nombreuses fresques. En Italie au contraire, au temps de
la Renaissance, de Giotto à Michel-Ange, c'est un âge d'or, mais, dès
le XVIe siècle, l'éclat et le modelé d'un nouveau procédé concurrence
la fresque : la peinture à l'huile. La peinture murale décline
lentement et inexorablement. Au XIXe siècle et au début du XXe siècle,
quelques artistes nostalgiques d'un art monumental essaient de faire
revivre la fresque - avec des succès très inégaux. Les réalisations de
Diego Rivera au Mexique, de Ducos de la Haille au Musée des Arts
Africains et Océaniens à Paris, ou de divers peintres en Sardaigne
(notamment à Orgosolo) prouvent l'intérêt d'une conception moderne de
cet art. Parallèlement, une pratique de vraie fresque est avérée dans
le monde précolombien. Elle est l'œuvre de la civilisation de
Teotihuacan. Un exemple représentant possiblement la Grande déesse de
Teotihuacán a été retrouvé dans le quartier Tetitla de Teotihuacan.
Sont connues comme les plus vieilles fresques médiévales et Renaissance
de France et d'Europe : les peintures ou fresques sur le tombeau de
saint Junien en l'abbaye de Nouaillé-Maupertuis (VIIIe siècle). les
martyres de saint Savin et saint Cyprien à l'église abbatiale du IXe
siècle de Saint-Savin-sur-Gartempe dans la Vienne près de Poitiers dans
le plus grand ensemble de fresques de France, de ce fait classé au
Patrimoine mondial de l'humanité de l'UNESCO en 1984. les fresques de
l'église carolingienne de Saint-Pierre-les-Églises près de Chauvigny
dans la Vienne, qui sont peut-être les plus anciennes fresques d'Europe
occidentale puisque on les date d'avant le Xe siècle. le Christ
cavalier, roi des rois ou cavalier de l'Apocalypse de saint Jean dans
une crypte du XIe siècle sous la cathédrale Saint-Étienne d'Auxerre.
Les fresques de la vie de saint François à Assise de Giotto dans
l'église supérieure de la Basilique Saint-François à Assise, et dans la
Chapelle des Scrovegni de l'Église de l'Arena à Padoue, (fin du XIIIe
et début du XIVe siècle), classées sur la Liste du patrimoine mondial
de l'UNESCO. les fresques de l'Histoire de la Vraie Croix de Piero
della Francesca dans l'église Saint-François à Arezzo. les fresques des
voûtes et la fresque du Jugement dernier peintes par Michel-Ange pour
la Chapelle Sixtine au Vatican. L'Utilisation de la fresque est un
héritage des relations de la ville de Mulhouse avec les cantons
suisses. Le plus bel exemple en est l'hôtel de ville du XVIe siècle aux
murs dotés de peintures en trompe-l'œil, mais c'est également le cas de
nombreux pignons aveugles de la cité. Le mortier, d'une épaisseur de 5
à 6 cm, est également appelé arriccio. Sur un mur, sain et robuste,
l'artiste prépare un mortier à base de chaux et de sable, qu'il étale
par la suite en le laissant rugueux (d'où son nom arriccio). Le choix
de la chaux comme mortier n'est pas seulement dû à ses qualités
artistiques mais à ses grandes capacités de conservation des pigments.
L'enduit est constitué de sable (silice) et de chaux en proportions
variables (on ajoute plus ou moins de chaux en fonction de la finesse
voulue pour l'enduit). La dernière couche est constituée à parts égales
de chaux et de sable (c'est la couche la plus lisse et la plus fine).
On fait généralement trois couches d'enduit successives. Chaque pose
doit être séparée de quelques heures dans un ordre décroissant de
temps. La première couche doit être faite plusieurs jours avant le
départ de la peinture, la seconde la veille et la dernière en moyenne
12 h avant. La période, pendant laquelle l'artiste peut peindre, se
situe sur un intervalle très court de quelques heures. Préparation de
l'enduit L'enduit est une couche d'environ 5 mm appelée intonaco. Après
avoir esquissé la figure voulue, l'artiste applique sur l'arriccio sec
(chaux totalement carbonatée), mais profondément humidifié au
préalable, l'intonaco, enduit à base de chaux aérienne, lissé à la
truelle (longue et fine appelée « langue de chat »). C'est lui qui
recevra les tons de couleurs, d'où intonaco. L'artiste doit prévoir la
quantité suffisante à une journée de travail (cette surface entre 1 et
4 m² est appelée giornata ). En effet la peinture doit être réalisée
sur l'enduit encore frais. La préparation de la chaux est complexe car
différente suivant la couche à enduire et doit être travaillée à la
main et non via une bétonnière. L'utilisation d'une gâche est alors
obligatoire. Si la surface à peindre est importante, il est
indispensable que les maçons et peintres travaillent ensemble mais dans
des sections séparées du mur. C'est le maçon qui en général indique au
peintre que le mortier est prêt et la technique pour le déterminer est
simple mais repose uniquement sur l'expérience de celui-ci ; le mortier
doit encore être humide et ne plus coller au doigt ; la peinture pourra
alors recouvrir le mortier sans trop le pénétrer pour perdre de son
intensité, on dit que le mortier est « amoureux ». [modifier] La
peinture La peinture est préparée à l'aide de pigments naturels tel que
les oxydes métalliques ou des terres. La préparation de pigments
naturels se fait par pilage des cristaux et mélange avec de l'eau de
chaux. L'eau de chaux est l'excès d'humidité qui se dégage de la chaux
qui a été préalablement mise au repos. La peinture à fresque demande
des pigments spécifiques, tout pigment utilisé pour la peinture a secco
(à sec) ne convient pas toujours au procédé a fresco. Ceci explique que
certains morceaux colorés disparaissent plus vite que d'autres (et le
noircissement de certaines des fresques de saint François d'Assise,
pour lesquelles le peintre a utilisé du blanc de plomb)… Les pigments
réagissent avec la chaux et pénètrent en profondeur tant que le mélange
n'est pas encore sec (chaque zone est appelée giornata car elle devait
être pigmentée dans la journée). Ce procédé ne permet pas de faire de
grandes surfaces au départ. La peinture s'effectue rapidement, le
peintre est adroit et précis[1], chaque erreur est le plus souvent
irréparable. La peinture est le plus généralement commencée en haut à
droite de la surface peinte afin que les coulures et les éclaboussures
ne détériorent pas le travail déjà effectué. Auparavant le peintre
effectue une première couche de peinture au verdaccio ombrant et
entourant les esquisses réalisées au préalable sur l'ariccio. Il peut
également reporter son dessin préparatoire à l'aide de 2 techniques :
le poncif (les grandes lignes du travail, dessinées sur feuille, sont
percées de petits trous au travers desquels on fait passer l'ocre
contenue dans une poncette) le calque gravé (les grandes lignes du
calque sont reportées par gravure sur l'intonaco) [modifier] La
sculpture à fresque Ce terme a été employé (notamment par l'architecte
Roger-Henri Expert) à propos d'une technique utilisée à partir de 1926
par le sculpteur Carlo Sarrabezolles. Il s'agit de taille directe dans
un béton encore frais (environ 12 heures de prise), ce qui demande une
grande rapidité d'exécution. Cette technique a été utilisée par
d'autres sculpteurs, mais assez rarement. Elle est particulièrement
bien adaptée à l'architecture. [modifier] La pratique et
l'apprentissage aujourd'hui Aujourd'hui[2], on peut trouver un
enseignement technique dans certaines écoles d'art, des stages, des
traités techniques comme ceux de Paul Baudoüin[3], Petresco, Prieur. Il
existe également une source précieuse d'informations sur la pratique de
la fresque au XVe siècle en Italie. Le livre de l'art, rédigé en 1437
par Cennino Cennini[4], constitue le traité le plus complet sur l'art
de peindre à cette époque et sert encore de référence pour la fresque
actuelle. Le plus grand obstacle est le manque de commande. La fresque,
art public et social depuis des millénaires, n'intéresse plus les
pouvoirs publics.[réf. nécessaire] La mode urbaine des « murs peints »
a recours à d'autres techniques comme l'acrylique. La fresque trouve
donc un refuge dans les maisons des particuliers qui savent apprécier
sa résistance, sa luminosité, sa beauté intrinsèque. La renaissance de
la fresque nécessiterait la formation des artistes, des commandes
privées et publiques mais surtout la conscience d'un art accessible et
inégalable qui nous vient des origines de l'humanité. La peinture
murale est la première histoire de la peinture. L'humanité a commencé
par l'art pariétal des peintures murales des cavernes, premiers signes
transmis entre les hommes. Dessins, tracés, images de beauté, d'effroi,
de magie. La paroi, le mur a été le premier support de la peinture. Le
support de la peinture murale est la pierre, le béton, la brique, le
plâtre, les matériaux de l'architecture. Le peintre peint directement
sur le support ou peint sur des toiles qui sont ensuite marouflées
(collées) sur les murs. La fresque est une technique particulière de la
peinture murale. La couleur y est appliquée sur un enduit à la chaux
fraîche (fresco en italien). Le terme de fresque est le plus souvent
utilisé par métonymie dans le langage courant et désigne la peinture
murale en général et rarement la technique. Domaine de la peinture
murale La peinture murale témoigne des préoccupations de chaque époque,
art public ou privé, laïque ou religieux, populaire ou élitiste, jouant
un rôle social, voire politique. La peinture murale est solidaire de
l'architecture, elle en est le prolongement et à ce titre, la
perspective est son outil pour la troisième dimension. La peinture
murale peut mieux et autrement que la publicité valoriser et marquer
les entrées de ville, créer des repères, identifier des lieux. Elle
favorise l'expression, le lien social. Domaine de l'art public, de
l'imagination de ses artistes et de ses décideurs. Cet art mural,
populaire, art d'artisan, modeste et ambitieux jouit du respect et de
la complicité du spectateur et reste méconnu et souvent ignoré des
instances culturelles Allemagne Peinture d'une Trabant passant le Mur
de Berlin Le Mur de Berlin, construit en 1961 pour séparer Berlin-Est
de Berlin-Ouest à l'époque de la guerre froide, a été le support de
nombreuses peintures, qui contestaient notamment sa présence. Après sa
destruction en 1989, la majeure partie du Mur a disparu, mais des
fragments ont été conservés par des particuliers (les Mauerspecht, pic
de mur), par l'État allemand et par d'autres pays (Parlement européen à
Bruxelles; fort Langley de la CIA aux États-Unis; Centre de commerce
mondial, à Montréal). Le reste le plus connu du Mur est situé le long
de la Spree, entre la gare de l'Est et le pont de l'Oberbaum, qui
enjambe la Spree. Ce n'était pas une partie du mur externe, mais de ce
que l'on a appelé le mur de l'arrière-pays, qui séparait la zone
frontalière de la RDA avec Berlin-Est. En 1990, il a été transformé par
des artistes internationaux en « East Side Gallery » et classé monument
historique. Il n'y avait pas de mur extérieur à cet endroit, car la
frontière était située sur la rive opposée de la Spree. Un autre
fragment du mur (réel) se trouve le long de la Niederkirchnerstraße,
dans le district centre, à proximité de la chambre des députés de
Berlin. Il a aussi été classé monument historique en 1990. Fresque les
Jeux et Jouets du Monde réaslisée par Inêz Oludé de Silva[1] Il s'agit
d'une scène grandiose, ludique et attrayante, étalée sur 50 m2, dans
laquelle des enfants de différentes nationalités jouent aux jeux et
jouets du monde. Les jeux montrés sont plus au moins connus des enfants
du monde entier, comme la marelle, le saut à la corde, les bulles de
savons, les échasses, les billes, le cerf-volant, le footbal, la
capoeira et des jouets de toutes sortes. Les enfants sont dans la
lumière solaire (fond jaune), souriants, joyeux, comiques et en
perpétuel mouvement. Offerte aux enfants, par l'important rôle du jouet
dans la construction du imaginaire ludique de l'enfant et dans la
fortification de sa formation intégrale, il vise aussi, la conservation
du Patrimoine Culturel et l'évaluation de l'identité culturelle
d'enfants et de jeunes. Le projet s'insère dans la prolongation d'un
travail réalisé au Brésil et en Belgique, dans les écoles et camps de
vacances pour des enfants de tout âge, de toute nationalité dans le
respect mutuel. Peinture murale de Francesco del Casino à Orgosolo De
nombreuses peintures ont été effectuées sur l'île de Sardaigne à partir
de la deuxième moitié du XXe siècle. On trouve ces fresques murales sur
les murs des villes ou sur des rochers avec des couleurs pastels et
assez tristes, des visages profonds où l'on peut remarquer un peuple
sarde fortement touché par l'histoire. Le message qu'elles transmettent
est souvent de nature politique, mais peut être également historique ou
citoyen. Les premières apparurent à San Sperate, au sud, puis le
phénomène essaima et se développa particulièrement à Orgosolo, dans les
montagnes du centre. Ce village compte à lui seul 400 murales, dont bon
nombre ont été réalisés, souvent dans un style inspiré par Picasso, par
Francesco del Casino et ses élèves. Les peintures portent sur la vie du
village ou sur des thèmes politiques : luttes d'ouvriers et de bergers,
contestation contre le nucléaire ou les occupations militaires (de
l'OTAN, des États-Unis). Le mouvement se poursuit aujourd'hui grâce à
des artistes sardes, allemands, français...-->-->
History
Murals of sorts date to Upper Paleolithic times such as the
paintings in the Chauvet Cave in Ardèche
department of southern France (around 30.000 BC). Many ancient murals have
survived in Egyptian tombs (around 3150 BC),[1]
the Minoan palaces (Middle period III of
the Neopalatial period, 1700-1600 BC) and in Pompeii
(around 100 BC - AD 79).
In modern times the term became more well-known with the Mexican
"muralista" art movement (Diego
Rivera, David Siqueiros, or José Orozco). There are many
different styles and techniques.
The best-known is probably fresco,
which uses water-soluble paints with a damp lime wash, a rapid use of
the resulting mixture over a large surface, and often in parts (but
with a sense of the whole). The colors lighten as they dry. The marouflage
method has also been used for millennia.
Murals today are painted in a variety of ways, using oil or
water-based media. The styles can vary from abstract to trompe-l'œil (a French term for "fool"
or "trick the eye"). Initiated by the works of mural artists like Graham
Rust or Rainer Maria Latzke in the 1980s, trompe-l'oeil
painting has experienced a renaissance in private and public buildings
in Europe. Today, the beauty of a wall mural has become much more
widely available with a technique whereby a painting or photographic
image is transferred to poster paper or canvas
which is then pasted to a wall surface (see wallpaper,
Frescography)
to give the effect of either a hand-painted mural or realistic scene.
Technique
Historical
mural techniques
In the history of mural several methods have been used:
A
Fresco painting, from the Italian word affresco which
derives from the adjective fresco ("fresh"), describes a
method, where the paint is applied on plaster
on walls or ceilings. The Buon
fresco technique consists of painting in pigment
mixed with water
on a thin layer of wet, fresh, lime mortar or plaster.
The pigment is then absorbed by the wet plaster; after a number of
hours, the plaster dries and reacts with the air: it is this chemical
reaction which fixes the pigment particles in the plaster. After this
the painting stays for a long time up to centuries in fresh and
brilliant colors.
"A Secco"
painting is done on dry plaster (secco is "dry" in Italian).
The pigments thus require a binding medium, such as egg
(tempera),
glue or oil to attach the pigment to the wall.
"Mezzo-fresco", is painted on nearly-dry plaster, which is defined
by the sixteenth-century author Ignazio Pozzo as "firm enough not to
take a thumb-print", so that the pigment only penetrates slightly into
the plaster. By the end of the sixteenth century this had largely
displaced the buon fresco method, and was used by painters
such as Gianbattista Tiepolo
or Michelangelo. This technique had, in reduced
form, the advantages of a secco work.
Material
In Greco-Roman times mostly encaustic
colors ground in a molten beeswax
or resin
binder and applied in a hot state was used.
Tempera
painting is one of the oldest known methods in mural painting, In
tempera the pigments are bind an albuminous medium such as egg yolk
or egg
white and have been diluted in water.
In 16th-century Europe, oil
painting
on canvas came up as an easier method for mural painting. The advantage
was, that the artwork could be completed in the artist's studio and
later transported to its destination and there attached to the wall or
ceiling. Oil paint can be said to be the least satisfactory medium for
murals, because of its lack of brilliance in colour. Also the pigments
are yellowed by the binder or are easier affected by atmospheric
conditions. The canvas itself is more subject to rapid deterioration
then a plaster underground.
Modern mural
techniques
Different muralists tend to become experts in their preferred medium
and application, whether that be oil paints, emulsion or acrylic paints
applied by brush, roller or airbrush/aerosols. Clients will often ask
for a particular style and the artist may adjust to the appropriate
technique.
A consultation usually leads to a detailed design and layout of the
proposed mural with a price quote that the client approves before the
muralist starts on the work. The area to be painted can be gridded to
match the design allowing the image to be scaled accurately step by
step. In some cases the design is projected straight onto the wall and
traced with pencil before painting begins. Some muralists will paint
directly without any prior sketching, preferring the spontaneous
technique.
Once completed the mural can be given coats of varnish or protective
acrylic glaze to protect the work from UV rays and surface damage.
CAM designed
Frescography
by Rainer Maria Latzke, digitally printed on canvas
As an alternative to a hand-painted or airbrushed mural, digitally
printed murals can also be applied to surfaces. Already existing murals
can be photographed and then be reproduced in near-to-original quality.
The disadvantages of pre-fabricated murals and decals are that they
are often mass produced and lack the allure and exclusivity of an
original artwork. They are often not fitted to the individual wall
sizes of the client and their personal ideas or wishes can not be added
to the mural as it progresses. The Frescography
technique, a digital manufacturing method (CAM)
invented by Rainer Maria Latzke addresses some of
the personalisation and size restrictions.
Digital techniques are commonly used in advertisements. A
"wallscape" is a large advertisement on or attached to the outside wall
of a building. Wallscapes can be painted directly on the wall as a
mural, or printed on vinyl and securely attached to the wall in the
manner of a billboard.
Although not strictly classed as murals, large scale printed media are
often referred to as such. Advertising murals were traditionally
painted onto buildings and shops by sign-writers, later as large scale
poster billboards.
Significance
of murals
Murals are important in that they bring art into the public sphere.
Due to the size, cost, and work involved in creating a mural, muralists
must often be commissioned by a sponsor. Often it is the local
government or a business, but many murals have been paid for with
grants of patronage.
For artists, their work gets a wide audience who otherwise might not
set foot in an art gallery. A city benefits by the beauty of a work of
art.
Murals can be a relatively effective tool of social emancipation or
achieving a political goal. Murals have sometimes been created against
the law, or have been commissioned by local bars and coffeeshops.
Often, the visual effects are an enticement to attract public attention
to social issues. State-sponsored public art expressions, particularly
murals, are often used by totalitarian
regimes as a tool of mass-control and propaganda. However, despite the
propagandist character of that works, some of them still have an
artistic value.
Murals can have a dramatic impact whether consciously or
subconsciously on the attitudes of passers by, when they are added to
areas where people live and work. It can also be argued that the
presence of large, public murals can add aesthetic improvement to the
daily lives of residents.
World-famous murals can be found in Mexico, New York,
Philadelphia,
Belfast,
Derry, Los
Angeles, Nicaragua, Cuba and in India. [1]
They have functioned as an important means of communication for members
of socially, ethnically and racially divided communities in times of
conflict. They also proved to be an effective tool in establishing a
dialogue and hence solving the cleavage in the long run. The Indian
state Kerala
has exclusive murals. These Kerala mural painting are on walls
of Hindu
temples. They can be dated from 9th century AD.
The San Bartolo murals of the Maya civilization in Guatemala,
are the oldest example of this art in Mesoamerica
and are dated at 300 BC.
Many rural towns have begun using murals to create tourist
attractions in order to boost economic income. Colquitt, Georgia
is one such town. Colquitt was chosen to host the 2010 Global Mural
Conference. The town has more than twelve murals completed, and will
host the Conference along with Dothan, Alabama, and Blakely, Georgia. In the summer of 2010,
Colquitt will begin work on their Icon Mural.
Murals and
politics
The
Bardia Mural, photographed in the 1960s,
prior to its damage by defacement and the ravages of time.
The famous Mexican mural
movement in the 1930s brought a new prominence to murals as a social
and political tool. Diego Rivera, José Orozco and David Siqueiros were
the most famous artists of the movement. Between 1932 and 1940, Rivera
also painted murals in San
Francisco, Detroit, and New
York City. In 1933 he completed a famous series of twenty-seven
fresco panels entitled Detroit Industry
on the walls of an inner court at the Detroit Institute of Arts.[2]
During the McCarthyism of the 1950s, a large sign was placed in the
courtyard defending the artistic merit of the murals while attacking
his politics as "detestable."
In 1948 the Colombian Government hosted the IX Pan-American
Conference to establish the Marshall plan for the Americas. The director
of the OEA and the Colombian government commissioned Master Santiago
Martinez Delgado,
to paint a mural in the Colombian congress building to commemorate the
event. Martinez decided to make it about the Cucuta Congress, and
painted Bolivar in front of Santander, making liberals
upset; so, due to the murder of Jorge Elieser Gaitan the mobs of el bogotazo
tried to burn the capitol, but the Colombian Army stopped them. Years
later, in the 1980s, with liberals in charge of the congress, they
passed a resolution to turn the whole chamber in the Elliptic Room 90
degrees to put the main mural on the side and commissioned Alejandro Obregon to
paint a non-partisan mural in the surrealist style.
Northern Ireland
contains some of the most famous political murals in the world. Many
murals serve as a public service announcement of a special interest,
notably for political topics such as sex, sexual orientation, religion
and intolerance. Almost 2,000 murals have been documented in Northern
Ireland since the 1970s. (See Northern Irish murals.)
A not political, but social related mural covers a wall in an old
building, once a prison, at the top of a cliff in Bardiyah, in Libya.
It was painted and signed by the artist on April 1942, weeks before his
death on the first day of the First Battle of El Alamein.
Known as the Bardia Mural, it was created by English
artist, Private John Frederick Brill.[3]
In 1976 East Germany begun to erect a wall between
East and West Berlin, which became famous as the Berlin
Wall.
While on the East Berlin side painting was not allowed, artists painted
on the Western side of the Wall from the 80s until the fall of the Wall
in 1989.
Many unknown but also known artists such as Thierry
Noir and Keith Haring painted on the Wall, the
"World's longest canvas".
The sometimes detailed artwork were often painted over within hours or
days. On the Western side the Wall was not protected, so everybody
could paint on the Wall. After the fall of the Berlin Wall in 1989 the
Eastern side of the Wall became also a popular "canvas" for many mural
and graffiti
artists.
Murals in contemporary
Interior Design
Forest mural by
One Red Shoe in private home, England 2007
Traditional Murals
Many people like to express their individuality by commissioning an
artist to paint a mural in their home, this is not an activity
exclusively for owners of large houses. A mural artist is only limited
by the fee and therefore the time spent on the painting; dictating the
level of detail; a simple mural can be added to the smallest of walls.
Private commissions can be for dining rooms, bathrooms, living rooms
or, as is often the case- children's bedrooms. A child's room can be
transformed into the 'fantasy world' of a forest
or racing track, encouraging
imaginative play and an awareness of art.
The current trend for feature walls has increased commissions for
muralists in the UK. A large hand-painted mural can be designed on a
specific theme, incorporate personal images and elements and may be
altered during the course of painting it. The personal interaction
between client and muralist is often a unique experience for an
individual not usually involved in the arts.
Public commissions of murals in schools, hospitals and retirement
homes can achieve a pleasing and welcoming atmosphere in these caring
institutions.[4]
In the 1980s, illusionary wall painting experienced a renaissance in
private homes. The reason for this revival in interior design could, in
some cases be attributed to the reduction in living space for the
individual. Faux architectural features as well as natural scenery and
views can have the effect of 'opening out' the walls. Densely built up
areas of housing may also contribute to people's feelings of being cut
off from nature in its free form. A mural commission of this sort may
be an attempt by some people to re-establish a balance with nature.
Graffiti Style
Murals
Recently, graffiti and street art have played a key role in
contemporary wall painting. Such graffiti/street artists as Keith
Haring, Shepard Fairey, Mint&Serf,
Futura
2000, Os Gemeos and Faile
among others have successfully transcended their street art aesthetic
beyond the walls of urban landscape and onto walls of private and
corporate clients. As graffiti/street art became more main stream in
the late 1990s, youth oriented brands such as Nike, Red Bull and Wieden
Kennedy have turned to graffiti/street artists to decorate walls of
their respective offices. This trend continued through 2000's with
graffiti/street art gaining more recognition from art institutions
worldwide.
Tile mural
Panel of glazed tiles by Jorge Colaço (1922) depicting an episode from
the battle of
Aljubarrota (1385) between
the Portuguese and
Castilian armies. A piece of public art
in
Lisbon,
Portugal.
Tile murals tile paintings, which cover complete walls and give a
wall painting-like impression. Tile murals are typically found in
countries around the Mediterranean Sea such as Morocco,
Tunisia
and Arabic countries, in Portugal
and Spain
mostly in an often monochrom-colored form, the Azulejo.
The Azulejo (Portuguese pronunciation: [ɐzuˈleʒu],
Spanish pronunciation: [aθuˈlexo]) refers to a
typical form of Portuguese or Spanish
painted, tin-glazed, ceramic
tilework.
They have become a typical aspect of Portuguese culture, manifesting
without interruption during five centuries the consecutive trends in
art.
Azulejos can be found inside and outside churches, palaces,
ordinary houses and even train
stations or subway stations. They
were not only used as an ornamental art form, but also had
a specific functional capacity like temperature control at homes. Many
azulejos chronicle major historical and cultural aspects of Portuguese history.
Today several companies create custom tile murals using dye
sublimation as well as other processes for commercial and residential
spaces. Images in Tile, USA is an example of a large scale mural
manufacturer.
История
Монументальная живопись - древнейший вид живописи, известен с палеолита (росписи в пещерах Альтамира, Ляско
и др.). Благодаря стационарности и долговечности произведений
монументальной живописи многочисленные ее образцы остались практически
от всех культур, создавших развитую архитектуру, и подчас служат единственным
видом сохранившихся живописных произведений эпохи.
Начиная с ранней Античности и до позднего Возрождения,
Монументальная живопись наряду с монументальной скульптурой представляет собой один из основных
методов декорирования каменных, кирпичных и бетонных (Древний Рим) сооружений. Широко применялась в
храмовых и погребальных комплексах Древнего Египта, в архитектуре Крито-Микенской цивилизации.
Практически не дошедшая до нас (за исключением мозаики) древнегреческая монументальная живопись, в
том числе роспись мраморной и хризоэлефантинной скульптуры,
во многом определяла характер восприятия произведений классической и эллинистической пластики и зодчества.
В Древнем Риме, в особенности после древнеримской
архитектурной революции, была распространена исключительно широко,
в том числе - в оформлении частных жилищ (четыре стиля древнеримской
росписи). Мозаика и фреска, широко применявшиеся в храмовой
архитектуре Византии, оказали
определяющее влияние на развитие древнерусского монументального
искусства.
В искусстве европейского Средневековья
особого внимания заслуживает беспрецедентное развитие витражной
техники. Ведущими мастерами эпохи Возрождения создано множество
грандиозных по размаху и виртуозных по исполнению фресок.
Выдающиеся произведения монументальной живописи остались от
доколумбовых цивилизаций Американского континента (в частности Майя).
В искусстве дальневосточных цивилизаций монументальная живопись
занимает особое место, вплотную соприкасаясь с декоративной живописью
(искусство Японии).
В современной монументальной живописи активно осваиваются новые
материалы мозаики и витража. В росписи исключительно трудоемкая и
требующая технической виртуозности фреска уступает место технике «а
секко» (по сухой штукатурке), более устойчивой в атмосфере современных
городов.
壁畫
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壁畫是一種裝飾牆壁和天花板的繪畫,可說是最原始的繪畫型式。最早的壁畫是在法國一個山洞中發現的,因此有時壁畫也稱洞穴畫。壁畫的歷史發展到最後,
變成建築裝飾,和室內裝飾的一種,彩磚也是壁畫的一種。都市裡面青少年反動性的塗鴉,
也算是壁畫之一,戶外廣告如果是用繪畫的型式製作的,也是壁畫。
壁畫創作時,要考慮到牆壁的結構,壁畫的創作可改變整體空間的比例和感受。
壁畫是古蹟修
復人員的挑戰與難題,因為牆壁不像其他畫作能裱框,收藏,覆上玻璃保
護,所以只要是年代久遠的壁畫,受損的情形都很嚴重。因此很珍貴,也很有價值。
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